Ces 50 dernières années, j’ai bien ri, fait beaucoup d’enfants, monté (et démonté…;) une dizaine d’entreprises dans différents pays, dans différents domaines avec un succès certain tout en travaillant peu… (si si c’est possible !)
J’ai gagné, perdu ou dépensé pas mal d’argent, j’ai toujours pensé que l’argent, c’était pas fait pour empiler mais pour circuler… et plus vite il circule, plus c’est amusant !
Ce 1er septembre 2012, je viens de vendre la dernière entreprise que j’ai lancé 5 ans plus tôt avec ma femme. Pendant que cette jeune et fabuleuse 2ème « assimilée épouse » reprend des parts dans une nouvelle affaire, de mon coté, je décide de monter un business autour d’un truc que j’adore ; piloter sur des routes sinueuses une moto puissante avec une bande de copains.
Attention ! plus question de me retrouver dans les Ardennes, piégé par la pluie, les muscles crispés par le froid, pour rentrer – dépité – par l’autoroute en grignotant un bête sandwich insipide dans une station service, l’aventure en moto, oui ! Mais sans désagréments, sans contraintes, au soleil, dans l’élégance, le luxe, le confort avec une pointe de folie…
Voilà le concept du WILD GENTLEMEN TOUR est né… Dans un premier temps, je pense m’installer dans le sud de la France à la frontière Italienne, au dessus de Monaco…
En décembre 2012, je découvre par hasard l’Andalousie et – je craque – si le paradis des amateurs de la machine à plaisir qu’est une motocyclette existe, il est là ; dans un triangle entre Grenade, Alméria et Tarifa avec la mer, les lacs et la montagne, entre 0 et 2000m d’altitude baigné par 320 jours de soleil par an, c’est d’ici, à Puerto Banùs à coté de Marbella que je vais vous raconter mes histoires !
Amis motards, j’ai eu le plaisir d’emmener ce personnage pendant 5 ans dans notre Ardenne pluvieuse et accessoirement lors de 5 voyages en Europe. Il roule comme un pilote, sourit et rit tout le temps, organise tout comme un chef d’entreprises et surtout « ose ». Et s’il a osé créer le Wild Gentlemen Tour (auquel je n’ai pas encore eu l’occasion de participer mais cela arrivera), je suis certain que tout doit être parfait. A bientôt.
FredFred, les Mobos du Béwé.
C’est vrai qu’il sourit tout le temps le JP Newman tant au Pain Quot de Waterloo que sous le soleil andalou au bord de l’eau.